Nous vous partageons ici un article de la Tribune très intéressant, qui soulève de réelles questions quant à nos habitudes de "consommation" de notre travail, dans lequel nous avons le plaisir d'être cités à propos du softphone (en dernière page) :
A l'heure du confinement, ou du couvre-feu, l'adage "métro-boulot-dodo" est plus que jamais de mise... avec une nette augmentation du "boulot-dodo" en cas de télétravail.
Surprise, ou pas, nous travaillons plus de chez nous que de notre lieu de travail selon l'étude citée.
La tendance au workaholisme (une tendance à l'addiction au travail) ne nous étonnerait pas tant la limite entre vie professionnelle et vie personnelle est devenue fine.
C'est à cet effet que le softphone nous permet une belle conciliation des deux vies dans la mesure où il aide a respecter cette frontière.
Cependant, cet article a réellement de quoi faire réfléchir : quel cadre ? Quelles solutions à proposer sans sombrer dans le "toujours plus" productiviste ?
Qu'en pensez-vous ?
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